lundi 17 décembre 2007

N.Sarkosy veut aider les locataires au détriment des investisseurs

Les professionels de l'immobilier estiment que les mesures en faveur des locataires pourraient dissuader les particuliers à investir dans le locatif au profit des produits d'épargne.
En effet, la récente modification du mode de calcul de l'indice des loyers pourrait ne plus permettre la rentabilité des investissements. Ce nouvel indice sera désormais calculé sur la base de 60% des prix à la consommation, 20% sur le coût de la construction et 20% sur les prix de l'entretien et l'amélioration des bâtiments.
A suivre...

vendredi 14 décembre 2007

5 % le crédit sur 25 ans, c'est aujourd'hui

Il faut remonter à juin 2002, pour retrouver des taux de crédit immobilier à 5% pour les emprunts sur 25 ans.
Les établissements bancaires font face à deux difficultés principales. D'abord, le marché des prêts interbancaires est très tendu. Les établissements de crédit ont des difficultés pour trouver des financements. Ensuite, les banques sont beaucoup plus prudentes face à la baisse possible des prix de l'immobilier.

La tendance des prochains mois est encore à la hausse des taux (stabilisation autour de 5,25%). Les spécialistes du crédit tablent ainsi sur une baisse des prix de l'immobilier de 3% pour l'année 2008.

Wait and see...

mercredi 12 décembre 2007

Chiffre du jour : 1/5

En France, un crédit immobilier sur 5 souscrit, est à taux variable actuellement.
Et en ce moment, avec les hausse récentes des taux, certains acheteurs français commencent à être en difficulté financière.

Des mensualités ont augmenté de 27 à 50% pour certains de ces emprunteurs. Le surcoût peut bien évidemment entraîner un déséquilibre de leur budget.
Une crise "subprime" version française reste cependant a écarter vu la faible part des taux variables.

mardi 11 décembre 2007

Loi "Sarkosy" sur l'emprunt immobilier : du neuf et une question

Le crédit d'impôt ne s'appliquerait qu'à compter de l'achèvement ou de la livraison du logement neuf, selon un amendement adopté par les sénateurs. Cet aménagement devrait permettre aux emprunteurs de déduire davantage.  

Lors de l'examen du projet de loi de finances pour 2008, le Sénat a adopté en première lecture un amendement relatif à la déductibilité des intérêts d'emprunt. Plus précisément, cet amendement concerne la date à partir de laquelle sont décomptées les cinq premières annuités de remboursement ouvrant droit au crédit d'impôt. Ainsi le bénéfice du crédit d'impôt serait décalé à la date de l'achèvement ou de la livraison de la résidence principale, en cas de construction ou d'acquisition en l'état futur d'achèvement. (VEFA). C'est en effet lors de la remise des clés du logement par le promoteur d'un immeuble ou le constructeur d'une maison individuelle, que l'emprunteur aura totalement débloqué son emprunt immobilier.  Et par conséquent que sa charge d'intérêts sera la plus importante. (source : les echos.fr, l'article est ici)

Je me pose alors la question suivante : une personne "X" a acheté son appartement sur plan en mars 2007 mais il lui sera livré en juin 2008 (il débloque par conséquent la totalité du crédit à ce moment là).
Dans la première version de la loi, les intérêts étaient déductibles si seulement l'acquéreur avait aquis son nouveau bien après l'élection de Nicolas Sarkosy. Mais quand est il maintenant que l'acquéreur peut commencer déduire les intérêts uniquement au moment où son crédit est totalement débloqué ?
Dans le premier cas Mr X était exclu de la loi. Dans le second cas, il pourrait bénéficier de la loi ??

ps : si vous avez la réponse, merci de la laisser en commentaire

vendredi 7 décembre 2007

Ralentissement des prix de l'immobilier au niveau mondial

La progression des prix de l'immobilier mondial a ralenti à 8,2% au troisième trimestre, contre 9,6% un an plus tôt, mais le marché reste en plein boom en Bulgarie et à Singapour, selon des données publiées jeudi par la firme Knight Frank.(voir aussi les artcile de ce blog concernat les pays de l'est).

La société de services à l'immobilier souligne, dans une étude non pondérée de 29 pays - dont 18 européens - que la hausse des taux d'intérêt et le durcissement des conditions de crédit dans le sillage de la crise des prêts à haut risque ("subprime") aux Etats-Unis pèsent sur la plupart des marchés mondiaux.

L'inflation des prix de l'immobilier en Bulgarie a en revanche plus que doublé pour atteindre 31% malgré la crainte que le secteur soit en train de construire des capacités en excès sur des sites tels que la station de sports d'hiver de Bansko. A Singapour, la hausse des prix de l'immobilier a plus que triplé pour atteindre 28%.

Cette tendance devrait se confirmer en 2008.

lundi 3 décembre 2007

Tendance immobilière en Europe de l'Est

Si les représentants des agences immobilières et les spécialistes en développement économique de Roumanie déclaraient tous il y a un mois qu'il y aurait des décennies de prospérité pour ce genre d'affaires, ils sont à présent beaucoup plus réservés. Après plus de cinq ans d'augmentation fulgurante, les prix de l'immobilier dans les pays baltes sont sur la pente descendante. "A présent, un grand volume de fonds spéculatifs entre en Roumanie et en Bulgarie", a déclaré Peter Morris, directeur général de l'agence immobilière Oberhaus. Certains analystes disent que ce n'est que le début d'un long déclin exacerbé par le fait que les économies de la Lettonie, de la Lituanie et de l'Estonie sont en surchauffe et affectées par une inflation élevée.

Ciprian Lopata, de l'agence Arco Real Estate Consulting, dit que le développement sur ces marchés nationaux est différent, et que la comparaison n'est pas réaliste. "Les Etats où l'on fait aujourd'hui des corrections, construisent depuis des dizaines d'années. En Roumanie on n'a plus rien construit depuis 50 ans."


"Des groupes gigantesques, Microsoft, Renault et d'autres ont annoncé l'ouverture de centres en Roumanie. Le marché immobilier en Roumanie va suivre son rythme alerte et ascendant sans être affecté par la crise internationale. A présent, la demande dépasse l'offre, aussi ne faut-il pas se faire de soucis en pensant à un éventuel écroulement de l'immobilier roumain. Tant que la Roumanie a un rythme accéléré de croissance économique, 70% de son économie étant du domaine privé, et bénéficie d'une exposition limitée au marché des crédits hypothécaires à taux de risque élevé, les investisseurs peuvent rester tranquilles. Tenant compte aussi de la bonne tenue des indicateurs économiques fondamentaux, on ne peut pas parler d'une crise" estime Eugen Paternic. Les statistiques semblent confirmer elles aussi l'optimisme modéré des spécialistes du marché immobilier. Les affaires évoluent fortement, au moins pour le moment.

Les banquiers ne sont pas inquiets. La Roumanie n'est pas confrontée à une croissance dangereuse des prix des biens immobiliers. C'est l'avis de Andreas Treichl, président de la banque autrichienne. Il est également le Président du conseil de surveillance de la Banque commerciale roumaine : "Je ne crois pas qu'il s'agisse d'une bulle en Roumanie. Le marché se développe très rapidement. Les prix augmentent, mais c'est un développement normal, et ils continueront à augmenter", a déclaré Andreas Treichl, cité par Mediafax.

Si un petit voyage vous tente, les billets d'avions, c'est ici.

[source : Adevarul] [Roumanie.com]

 
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